Qui se porte bien après un vaccin ?

Faut-il s’étonner que le système immunitaire de nos contemporains présente autant de dysfonctionnements (immunodépression, auto-immunité, réactions allergiques…) alors que l’on sait qu’il est malmené dès le plus jeune âge pour ne pas dire depuis la naissance ?

En effet, que font les vaccinations si ce n’est interagir sur le système immunitaire afin de le rendre (soi-disant) plus fort ou plus réactif ?

De nombreux médecins et pédiatres pensent malheureusement encore que la vaccination est la meilleure manière de prévenir la maladie, car le dogme de la vaccination à la peau dure. Peu  de personne se risque à le remettre en question sous peine d’être taxé de gourou ou d’avoir des ennuis avec l’ordre des médecins.

Si le principe vaccinal en lui-même qui consiste à inoculer un germe afin que le système immunitaire garde en mémoire pour mieux se défendre lorsque le corps devra y faire face semble fondé, on ne peut que constater la kyrielle d’effets secondaires et de maladies post vaccinales de plus en plus fréquentes.

Aux yeux de certains médecins plus critiques, la disparition progressive des maladies infantiles est très préoccupante, car ce sont elles qui permettent la maturation progressive et indispensable du système immunitaire jusqu’à l’âge adulte. Les médecins anthroposophes disciples de Rodolphe Steiner affirment que « la disparition des maladies chaudes de l’enfance prépare le lit des maladies froides de l’adulte (les cancers par exemple) »*. Un autre phénomène concomitant aux maladies infantiles est un développement physique, psychologique ou mental accru. Ce qui a été confirmé par de très nombreux témoignages de parents.

On peut tous s’imaginer que supprimer les étapes indispensables au développement du système immunitaire est une mauvaise chose en soi, mais il est très difficile de comprendre pourquoi l’on ajoute aux vaccins des adjuvants toxiques qui induisent des maladies graves.

Si l’on vous dit phénol ou phénoxyéthanol, vous pensez antigel ? Mais pas que, puisque cette molécule toxique pour toutes les cellules est présente dans certains vaccins comme celui contre la polio.

Si l’on vous dit formaldéhyde ou formol ? Vous imaginez conservation d’organes dans un sulfureux laboratoire de biologie… Détrompez-vous, il est utilisé pour inactiver les germes dans les vaccins (hépatite A et B, méningite, polio, grippes, typhoïde, etc.). Ingéré (à température du corps), il devient carcinogène (leucémies, cerveau, colon, organes lymphatiques). Soupçonné de provoquer des problèmes gastro-intestinaux, il constitue un véritable poison pour le foie, le système immunitaire, le système nerveux et pour les organes de reproduction.

Le borax ou borate de sodium est soumis à de scrupuleuses restrictions d’emploi et distribué en pharmacie avec grande parcimonie et moult réserves uniquement à usage insecticide et raticide (mort aux rats). Nul n’aurait donc l’idée de l’avaler ou de l’injecter, mais c’est pourtant ce que l’on fait puisqu’il est utilisé pour la fabrication du fameux Gardasil (vaccin contre le cancer du col de l’utérus ou le papillomavirus chez la jeune fille), ainsi que dans certains vaccins contre l’hépatite A et B.

Une autre molécule utilisée dans la fabrication de ces poisons injectables est le squalène. Il s’agit d’une molécule lipidique de structure très proche de celle du cholestérol. Le système immunitaire considère ce squalène exogène comme un agent agresseur, il développe à l’encontre de cette substance un processus auto-immun destructeur. En effet, les anticorps deviennent dès lors incapables de faire la différence entre le squalène endogène (utile à la production de cholestérol, d’hormones et à la construction des membranes cellulaires) et le squalène exogène. Les anticorps détruiront les 2 types de squalène avec des conséquences catastrophiques sur le long terme.

Devons-nous encore nous étonner que le monde compte de plus en plus de personnes allergiques, porteuses de maladies auto-immunes, nerveusement dégénérées ou incapables de se reproduire ? Et nous n’avons même pas encore parlé du mercure (thimerosal) et de l’aluminium eux aussi fortement présents dans les vaccins.


*Extrait de « La (bonne) santé des enfants non vaccinés » – Dr Françoise Berthoud – éditions Jouvence .

HBE Diffusion, PANNE Carol 7 mars, 2016
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