Agir sur l’acidose ou l’acidité tissulaire

Actuellement, l’ensemble de notre société a tendance à l’acidose. Notre environnement est attaqué par les pluies acides comme notre corps l’est par l’ensemble des résidus acides que génère une mauvaise hygiène de vie.

L’une des principales origines de notre acidité tissulaire est alimentaire, mais il n’y a pas que cela. Le stress, le manque d’exercice physique, mais également l’excès de sport, la consommation de médicaments ou d’alcool, le surmenage, les pensées négatives, le manque de sommeil ou encore les nombreuses pollutions (entre autres électromagnétiques) auxquelles nous sommes soumis favorisent cet état d’acidose.

Cette accumulation de déchets acides encrasse et déminéralise l’organisme.

Des naturopathes réputés affirment actuellement que l’acidose résulterait également d’une déshydratation ou inversement qu’une déshydratation serait en lien direct avec une déminéralisation et une acidose.

Une donnée connue est que la masse de notre corps est constituée de 85 à 65 % d’eau. Par contre, on mentionne rarement que le nombre total de molécules du corps est constitué de 99 % de molécules d’eau.

Nous sommes donc des êtres hydriques.

agrumes

Nos tissus et nos cellules sont nourris grâce à la circulation de ce que les anciens appelaient les humeurs (lymphe), comme en dépend d’ailleurs l’élimination des résidus métaboliques.  Si ces humeurs sont encrassées, non seulement les tissus seront mal nourris (ce qui mènera petit à petit à des carences et à la déminéralisation), mais l’eau que nous absorbons ne remplira pas son rôle premier qui est celui de transporter des informations subtiles dans notre corps.

Pour que l’eau, autoroute informationnelle de notre organisme, assure les transports d’ions et les échanges photoniques (informations subtiles), il faut que notre milieu intérieur (nos humeurs) soit propre.

C’est pour cela qu’il faut être vigilant vis-à-vis de nos apports nutritionnels en évitant des aliments pollués et chargés en toxiques, mais c’est également pour cela qu’il faut s’assurer que nos émonctoires (portes de sortie de l’organisme : reins – intestins – poumons – peau) sont ouverts afin de remplir correctement leurs fonctions d’élimination.

Donc en plus de veiller absorber nourriture saine et la plus naturel possible, il faut donner à notre corps les possibilités d’éliminer les toxines (encrassement qui résulte du métabolisme) et les toxiques (pollution qui vient de l’extérieur) en drainant régulièrement les émonctoires afin qu’ils restent fonctionnels.

 Le drainage peut se faire régulièrement par exemple aux changements de saison ou après des périodes chargées (fêtes de fin d’année par exemple). Pour drainer les reins, les intestins ou le foie, on peut utiliser tisanes, teinture mère, jus de fruits ou de légumes en plus du fait d’absorber une eau la plus pure possible (biocompatible).

Pratiquer des saunas, des hammams ou une activité physique permettra d’éliminer par la peau (glandes sébacées et sudoripares). Un sport léger favorise aussi l’élimination des acides par les poumons.

Si l’ensemble de ces pratiques permet l’élimination de toxines et de toxiques et donc en partie la désacidification de l’organisme, il faut également veiller à absorber des aliments alcalinisants.

Pour se renseigner à ce sujet, il existe de nombreux ouvrages, sites Internet et listes d’aliments. Cette facette alimentaire est parfois un peu compliquée parce que nous n’avons pas tous le même fonctionnement métabolique et que certains aliments seront plus acidifiants pour certaines personnes que pour d’autres.

Chacun devrait donc se trouver un rythme de vie, des activités physiques ou de loisirs adaptés et une alimentation personnalisée (apprendre à observer ses propres réactions digestives métaboliques) afin d’agir sur ces paramètres d’acidité tissulaire.

HBE Diffusion, PANNE Carol 18 octobre, 2015
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