Une épice à la rescousse pour éviter la maladie d’Alzheimer

Actuellement dans le domaine des compléments alimentaires, on parle énormément et à raison des nombreuses vertus des épices. Effectivement, la nature regorge d’herbes, de plantes et d’épices aux innombrables propriétés encore parfois méconnues. On peut ainsi allier l’utile à l’agréable, c’est-à-dire effectuer une prévention en santé tout en savourant de délicieux plats relevés grâce aux épices ou aux condiments exotiques.

Un ethnobotaniste, Chris Kilham, « homme-médecine » constamment à l’affût de nouvelles informations, confirme que la racine de curcuma ou safran des indes dont on extrait la curcumine, est une épice réellement puissante dans de nombreux problèmes de santé et notamment dans la prévention de dégénérescences telles que la maladie d’Alzheimer.

Il apparaît que le cerveau des personnes soufrant de cette maladie présente une ou plusieurs plaques appelées « bêta-amyloïde ». On ne sait pas encore au juste si ces plaques constituent une conséquence de la maladie d’Alzheimer, ou si elles en sont la cause, mais quoi qu’il en soit, elles sont directement liées au processus dégénératif.

Chris Kilham explique, et appuie ses dires par de nouvelles études, que le curcuma semble réellement inhiber le développement de ces plaques et qu’il semble contribuer à en réduire l’apparition même à des stades beaucoup plus avancés de la maladie.

Les études animales ont permis de constater que lorsqu’on donne des extraits de racine de curcuma à des animaux qui présentent ce type de plaques, on voit le nombre et l’étendue des plaques se réduire.

D’autres observations indiquent aussi que les groupes de personnes qui consomment fréquemment du safran des Indes en quantité importante ne développent pratiquement jamais de maladies d’Alzheimer. De même en Inde ou dans les pays d’Asie du Sud-Est, c’est une pathologie rare, ce qui est sans doute corrélé au fait que dans ces pays les gens consomment beaucoup de curcuma. Alors que dans des pays industrialisés, aux États-Unis par exemple, où l’on consomme peu d’épices de ce type, cette maladie est vraiment très répandue.

On sait que les compagnies pharmaceutiques sont actuellement à pied d’œuvre pour mettre au point des médicaments à base de curcuma, mais Kilham recommande surtout de manger du curcuma frais le plus souvent possible, et de le prendre sous forme de compléments alimentaires, si les épices ne font que peu partie de votre alimentation.

Sachant qu’un principe actif tel que la racine de curcuma ne peut être breveté, il est vraisemblable que les laboratoires pharmaceutiques continueront plutôt à rechercher des molécules actives de synthèse pour soigner ce type de maladies.

Puisque nous savons bien que les molécules chimiques ou de synthèse ne sont pas reconnues, ni assimilées par l’organisme et qu’elles présentent également de nombreux effets secondaires et indésirables, en tant qu’inconditionnel de médecines naturelles Chris Kilham préfère continuer à manger du curcuma frais ou à absorber des compléments alimentaires réellement protecteurs afin de se mettre à l’abri face à de tels problèmes de santé.

Nous supposons que ce sera également votre choix.

HBE Diffusion, PANNE Carol 16 octobre, 2017
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