Les alternatives naturelles contre l’hyperactivité

Il existe de plus en plus d’enfants étiquetés : « hyperactifs » ! En France il y en aurait environ 5 % parmi les écoliers et dans le monde les taux varient selon les régions entre 3,5 % et 9 % d’enfants atteints par ces troubles de l’attention, troubles qui peuvent s’accompagner ou non d’hyperactivité (TDA/H). Pour contrer cette véritable épidémie, la médecine traditionnelle n’a de solution que de droguer légalement ces bambins un peu trop turbulents !

Il existe pourtant des solutions naturelles pour pallier ce type de problèmes comportementaux.

L’une d’entre elles est le complexe Phytactiv (phyto-aromathérapie) qui semble très efficace. Il contient :

  • de la menthe poivrée dont l’huile essentielle riche en menthol constitue un stimulant cérébral. Cette plante améliore la concentration et la capacité d’étude. Du point de vue scientifique, la menthe poivrée accroît le fonctionnement cérébral par stimulation du flux des neurotransmetteurs au niveau des synapses. Cette plante stimule l’expression créative tournée vers l’extérieur. Elle favorise l’enthousiasme et stimule la mémoire en facilitant l’action de l’acétylcholine.
  • du basilic qui inhibe les enzymes eux-mêmes inhibiteurs d’acétylcholine et l’on sait que des taux d’acétylcholine supérieurs favorisent la mémoire, le souvenir et la concentration.
  • de la noix de muscade : cette petite noix est traversée par des canaux qui renferment de l’huile essentielle. Cette huile contient de la myristicine qui répare les dommages subis par le système nerveux. Elle est utilisée dans le traitement de l’hyperkinésie et du TDA/H en raison de son action positive sur l’apprentissage et les processus de mémoire.
  • de Nardostachys jatamansi, plus connu sous le nom de nard indien, cette huile essentielle contient de la nardosinone, une substance neurorégénérative qui stimule la croissance des neurones.
  • du romarin, une herbe aromatique utilisée pour stimuler la mémoire depuis l’Antiquité grecque. Cette plante stimule et éveille l’attention, éclaircit l’esprit, améliore les troubles de la concentration et les pertes de mémoire. Des études scientifiques démontrent que cette plante a de l’avenir en médecine cognitive.

Pour donner un maximum de chances à vos enfants, vous pouvez également leur fournir du zinc sous forme de compléments alimentaires. Des études sérieuses montrent un lien entre les déficiences en zinc et le trouble de déficit de l’attention.

Des études ont démontré que les troubles de l’attention et de comportement était plus fréquent chez les enfants dont les mamans étaient carencées en iode lors de la grossesse. Par contre, l’intérêt de l’iode chez les enfants présentant ce type de troubles reste encore à prouver.

Quelques études confirment que les enfants hyperactifs manquent souvent de magnésium. Et si ce n’est pas le cas, le magnésium améliore l’anxiété qui affecte souvent les enfants atteints de TDA/H, ainsi que le sommeil qui est l’un des facteurs d’hygiène de vie essentielle pour éviter ou pour améliorer ce type de troubles.
Des études plus anciennes ont mis en évidence que des compléments alimentaires d’huiles de poisson (oméga-3) améliorent très rapidement (6 mois) les problèmes de dyscalculie, de dysorthographie ou de TDAH. Des enfants présentant des troubles de la mémorisation ou d’apprentissage scolaire à l’école, mais non diagnostiqués TDAH, avaient manifesté de meilleures cotations lors de prise d’oméga-3 sous forme de compléments alimentaires (huiles de poissons ou de krill) ou d’huiles végétales (colza, lin, cameline) intégrées à doses importantes dans l’alimentation.

HBE Diffusion, PANNE Carol 23 août, 2016
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