Quelle eau boire ?

L’eau est un élément essentiel à la vie, puisqu’elle régente l’ensemble de nos fonctionnements métaboliques et de nos réactions physiologiques vitales. On peut cependant se poser la question : toutes les eaux de boisson se valent-elles ?


Quelle eau boire pour favoriser la bonne santé ?

Nous sommes majoritairement constitués d’eau (99,1 % de masse moléculaire) et surtout d’eau circulante (lymphe, sang, liquides intra- et extracellulaires). Ce sont ces tissus aqueux qui transportent les ions et l’ensemble des éléments nutritifs indispensables au fonctionnement de nos cellules. Ce sont également ces liquides organiques qui assurent l’évacuation des déchets métaboliques jusqu’aux portes de sortie de notre corps. Les éléments nutritifs et les toxines évacuées sont transportés par les molécules d’eau, molécules auxquelles ils se lient par un jeu de liaisons électromagnétiques.

Comme on le sait tous, la molécule d’eau est constituée de 2 atomes d’hydrogène chargés positivement et d’un atome d’oxygène de charge négative. On constate dès lors que la molécule d’eau constitue un petit dipôle ou bipôle qui n’est autre qu’un petit aimant dont les pôles peuvent attirer des éléments porteurs de charges opposées. Ainsi, ce bipôle, comme tout aimant, fonctionne à la manière d’une antenne, c’est-à-dire qu’il est à la fois récepteur et émetteur d’informations électromagnétiques ou vibratoires.


L’eau et son rôle de transporteur

Pour que les molécules d’eau puissent remplir leur rôle de transporteur électromagnétique, il faut qu’elles soient libres, c’est-à-dire qu’elles ne soient pas déjà liées ou chargées d’autres éléments. C’est très simple à comprendre, si dans une rame de métro toutes les places sont occupées et que la rame est bondée, aucun voyageur ne pourra embarquer. Par contre, si la rame est vide, des places seront disponibles pour le transport des personnes qui le souhaitent. Il en va de même avec les molécules d’eau.

Il faut donc boire une eau faiblement minéralisée puisque dans ce cas, seule une petite partie des molécules seront chargées, les autres étant libres pourront servir aux transports des éléments nutritionnels ou à l’évacuation des déchets métaboliques cellulaires. Rappelons que les éléments nécessaires au fonctionnement cellulaire (minéraux, oligo-éléments, nutriments, vitamines…) sont fournis par les aliments dont nous nous nourrissons. Pour que ces éléments nutritionnels soient bien assimilés par le corps, ils doivent être chélatés (combinés à d’autres éléments), ce qui est le cas des nutriments apportés par l’alimentation, mais ce n’est absolument pas le cas des minéraux des eaux en bouteille. Il est donc inutile de compter sur les eaux minérales pour se minéraliser puisque les éléments qu’elles contiennent sont non chélatés et donc inassimilables.

D’après le chercheur Marc Henry (dont nous vous invitons à regarder les nombreuses conférences portant sur l’eau), l’idéal serait de consommer une eau dont le résidu sec avoisinerait les 25 à 30 mg par litre. Cette donnée est obligatoirement mentionnée sur les étiquettes des eaux en bouteille. Vous y lirez soit la mention « résidu sec », soit celle de « minéralisation totale ». Le maximum de tolérance vis-à-vis de ce critère devrait être de 100 mg par litre. Au-delà de ce seuil, l’eau de boisson est considérée comme physiologiquement incompatible, sans compter qu’à cela s’ajoutent la toxicité du bisphénol (des bouteilles en plastique) et les résidus de médicaments qui ont été trouvés dans les eaux en bouteille.


L’eau, médium de vos pensées

De par son magnétisme, l’eau peut transporter bien d’autres éléments que les seuls nutriments. Elle peut se charger de toutes sortes d’informations électromagnétiques qui viennent à la fois de notre propre corps tel que les pensées ou les paroles, lesquelles aussi constituent des vibrations ou des informations électromagnétiques. Il semble dès lors essentiel d’apprendre à maîtriser nos pensées et à contrôler nos paroles. Pour vous convaincre de l’action des mots et des pensées sur l’eau, vous pouvez vous référer aux importants travaux du japonais Masaru Emoto.

L’eau ne faisant pas la différence entre les bonnes informations et les informations toxiques, elle peut également capter les ondes nocives telles que celles des antennes relais, des wi-fi, des compteurs Linky, etc. On entre ici dans le domaine de la mémoire de l’eau qui a maintenant été démontrée par le professeur Montagnier suite à la reprise des travaux de Benveniste.


Quelle eau choisir ?

Nous vous déconseillons également de boire l’eau du robinet, car elle contient de nombreux éléments toxiques. Parmi ceux-ci, mentionnons le chlore (grands perturbateurs des mécanismes thyroïdiens), les nitrates (très dangereux surtout pour les bébés et les enfants, mais pas idéaux non plus pour les adultes), les métaux lourds (chrome, nickel, cuivre, zinc, arsenic, cadmium, mercure) et les pesticides (herbicides, insecticides, fongicides, acaricides, bactéricides, etc.).

Rappelons que tout ce qui porte le suffixe  » cide  » signifie  » fait pour tuer « . Depuis 2011, l’OMS elle-même reconnaît qu’il y a des résidus de médicaments dans les eaux de rivière, mais également dans l’eau de nos robinets. Rajoutons à cela qu’elle peut également contenir des dépôts de plomb, d’aluminium ou encore d’autres perturbateurs endocriniens tels que des résidus de plastique en raison des matériaux qui constituent les réseaux de canalisations.

La solution idéale réside donc dans le fait de filtrer l’eau du robinet ou de pluie pour en faire une eau de consommation biocompatible. Il existe différents systèmes de filtration plus ou moins performants. Les filtrations bas de gamme sont constituées par les systèmes de cruches munies de filtres en résine. Ce type de filtration procure des résultats limités puisqu’il n’arrête ni les nitrates ni les métaux lourds, même si c’est déjà mieux que de boire une eau de robinet telle quelle.

Ce type de filtration est coûteux sur le long terme puisqu’il faut absolument changer très régulièrement les cartouches filtrantes afin d’éviter des contaminations bactériennes. Selon certains, la Rolls-Royce de la filtration serait la technologie par osmose inverse. Malheureusement, l’achat de cet appareillage est souvent très coûteux. Il y a un rejet d’eau polluée dans la nature, c’est-à-dire celle qui contient les toxiques retenus par la filtration. L’eau osmosée est filtrée tellement finement qu’elle ne contient plus aucun minéral. Elle s’apparente ainsi à l’eau distillée et nécessite une reminéralisation grâce à des cartouches spécifiques. Les systèmes d’osmose demandent un changement de cartouches assez fréquent (annuel ou tous les deux ans) ce qui augmente encore le coût de cette filtration de luxe.

Restent les systèmes de filtration qui utilisent des cartouches à base de résine et/ou de carbone. Dans l’ensemble, ils sont nettement moins onéreux et sont malgré tout très efficaces puisque parmi les marques de filtres les plus performants, le degré de filtration avoisine celui procuré par l’osmose inverse.

HBE Diffusion, PANNE Carol 8 février, 2019
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