La vaccination est-elle réellement bonne pour l’organisme ?

Adjuvants, surmédiatisation, obligation, autisme, lobbyisme,etc. Les vaccins sont au centre de nombreuses polémiques et débats, touchant à plusieurs aspects différents de la chose.

Pour rappel, un vaccin est l’injection d’un micro-organisme affaibli ou « mort », ou de la toxine qu’il produit, pour forcer le système immunitaire à le combattre. Une fois le vaccin introduit, le corps va réagir comme s’il était infecté, déclenchant parfois de la fièvre, manifestation de son combat, le but étant que le système immunitaire puisse réagir de manière adéquate à chaque fois qu’il sera confronté à l’indésirable (s’il y est confronté…).

 

L’idée, en soi, semble positive et fondée, mais la vaccination est-elle réellement bonne pour l’organisme ?

Les vaccins sont, de nos jours, administrés massivement et de plus en plus tôt aux enfants. Dès 2 mois, alors que leur système immunitaire se développe jusque 9 mois, les bébés (et leurs parents) se retrouvent d’emblée face à la vaccination obligatoire. Leur système immunitaire en plein développement est alors « agressé » inutilement.
De plus, la plupart des vaccins contiennent une dose d’aluminium 50 à 80 fois supérieures aux normes européennes. Celui-ci est utilisé comme adjuvant et permet de mieux stimuler la réponse immunitaire. S’accumulant dans les cellules, il stimule le système de manière continue, engendrant un risque de dérèglement. C’est alors que surviennent les allergies, au mieux, et les maladies auto-immunes !

La plupart des gens payent donc pour que leur corps soit contaminé par des vaccins, échangeant ainsi un risque minime de contracter des maladies communes, rarement dangereuses et pouvant être traitées, contre une certitude absolue de faire du mal à leur organisme. Bien sûr, il s’agit d’une terreur fournie par la désinformation des gouvernements et de la santé publique.

seringue

De nombreuses études, souvent étouffées, d’ailleurs, ont démontré que les vaccins ont tendance à dérégler significativement le système immunitaire. Quand il se dérègle excessivement, les anticorps produits peuvent se diriger contre l’organisme auquel ils appartiennent, provoquant l’apparition de maladies auto-immunes.

Il est aujourd’hui prouvé que la vaccination contre l’hépatite B a un lien avec le déclenchement d’une sclérose en plaques.

Le lien entre les vaccins contre le HPV – papillomavirus humains – (Gardasil ou Cervarix), administré aux jeunes filles de 13 à 16 ans, est également étroitement lié au risque de développer le syndrome de Guillain-Barré. Ce syndrome est une grave pathologie neurologique dans laquelle le système immunitaire de la personne attaque les nerfs périphériques. Les anticorps endommagent la myéline, la gaine qui entoure les nerfs, induisant un influx nerveux ralenti, voire stoppé, ce qui conduit à des fourmillements, faiblesses musculaires ou à la paralysie partielle, voire totale.
Le risque de développer un lupus érythémateux disséminé est également associé à un certain nombre de vaccins, notamment celui contre l’hépatite B.

Réfléchissez donc bien avant de vous faire vacciner ou de l’imposer à vos enfants. La vaccination n’est pas sans risque, à bien des niveaux. Mais rassurez-vous… Les vaccins contre les maladies auto-immunes existent.

Thyphanie Mouton 30 mai, 2016
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