Een natuurlijke hoop voor de ziekte van Parkinson

Une étude très récente met en avant et confirme les apports bénéfiques de deux antioxydants déjà connus dans le domaine des compléments nutritionnels et de la médecine naturelle. Il s’agit du resvératrol et de la quercétine, principes actifs qui permettraient de maintenir un fonctionnement cérébral optimal.

La médecine naturelle est encore actuellement quelque peu démunie par rapport aux dégénérescences cérébrales et particulièrement face au parkinson. Ainsi, le resvératrol-trans utilisé dans cette étude constitue un nouvel espoir dans cette pathologie. Quant à la quercétine,  elle est extraite du thé vert qui en présente de très fortes concentrations.

La maladie de Parkinson, se manifeste par la diminution de l’habileté motrice et un ralentissement de l’élocution, une rigidité musculaire, un tremblement et un ralentissement des mouvements, cette dégénérescence peut même aller jusqu’à l’incapacité totale d’effectuer certains mouvements.

Ces signes résultent d’une baisse du taux et de sécrétion de la dopamine, un neurotransmetteur essentiel dans l’activité cérébrale. Les chercheurs ont émis l’hypothèse que la mort des neurones producteurs de dopamine pourrait résulter du stress oxydatif et des dégâts occasionnés par les radicaux libres.

On reconnaît actuellement de puissantes vertus protectrices contre les radicaux libres et un pouvoir anti-oxydant exceptionnel au resvératrol et à la quercétine. Ces deux substances naturelles permettraient donc d’éviter ce type de dégénérescence. Les résultats concrets des recherches démontrent que ces deux molécules naturelles diminuent le taux de mortalité des cellules cérébrales en agissant directement sur le processus de mort cellulaire génétiquement programmé. On peut donc aisément imaginer d’utiliser ces 2 substances de manière préventive ou en adjonction aux traitements traditionnels utilisés pour l’ensemble des maladies neuro-dégéneratives.

HBE Diffusion, PANNE Carol 4 oktober, 2017
Partager ce poste
Étiquettes
Archief
Blaasontsteking (cystitis) en nierontsteking (pyelonefritis)