Laad uw batterijen op om aan een burn-out te ontsnappen

Qui à l’heure actuelle n’a pas entendu parler de burnout ? Cette expression passée dans le langage courant est synonyme d’épuisement professionnel. Burnout et stress sont intimement liés et cet épuisement ne possède pas seulement une origine professionnelle.

 

Le stress est une réaction normale qui met en jeu un ensemble de mécanismes (circulation, énergie, vigilance, etc.) grâce auxquels le corps peut s’adapter face à toute situation. Le stress est en grande partie lié au cortisol, d’ailleurs appelé hormone du stress. Cette hormone est produite par les surrénales (2 petites glandes situées aux sommets des reins).
Si les stress divers (professionnels, sociaux, familiaux, environnementaux, etc.) sont trop nombreux et répétitifs, ces mécanismes adaptatifs sont submergés. Les réserves « adaptatives » du corps s’épuisent et plus grave, l’organisme n’arrive plus à recharger ces batteries ou à récupérer. Les nuits ne suffisent plus et survient alors un épuisement complet nerveux et hormonal. Le corps en totale désadaptation dit « zut » en allant jusqu’à l’épuisement complet des glandes surrénales et de nos réserves.

 

Comme nous sommes tous différents, la capacité ou la limite de la gestion du stress est propre à chacun d’entre nous. En effet, chacun vient au monde avec ses propres facultés adaptatives et un axe neuro-endocrinien plus ou moins solide et efficace.

La constitution même de la personne dépend du bagage héréditaire (terrain), des conditions de déroulement de l’accouchement et de la grossesse, mais aussi du parcours personnel et des conditions de vie (enfance, couple, travail épanouissant ou harassant, etc.), des chocs ou traumatismes émotionnels et physiques (maladies, accidents), de l’alimentation (acidose, vitamines, minéraux, etc.) et des pollutions (perturbateurs endocriniens, médicaments, vaccins, métaux lourds, etc.). La soumission permanente aux pressions et aux pollutions notamment des perturbateurs endocriniens omniprésents dans notre environnement ne fait qu’augmenter cette fragilité adaptative.
Il est évident que les conditions de vie (à 100 à l’heure) et de travail (productivité et rendement obligatoires) actuelles, dans lesquels notre vie semble « ne plus avoir de sens » (routine métro-boulot-dodo), tendent à épuiser l’organisme, les glandes surrénales et les mécanismes adaptatifs.

 

On en vient à se demander « est-ce que c’est réellement ça la vie ? ».

 

Courir en permanence… S’alimenter à la va-vite avec des aliments vides d’énergie et dénaturés… N’avoir plus le temps pour prendre soin de soi ou pour profiter des plaisirs simples de la vie : ballade en nature, moment agréable en famille, intimité de couple…
Recharger « nos batteries » (et par là-même régénérer les glandes surrénales et la thyroïde) par des activités sportives, créatives et récréatives (loisirs) est ABSOLUMENT INDISPENSABLE pour sortir de cette impasse et de cet état de « vivotage » ou de survie.
Changer son état d’esprit, retrouver un but « supérieur » dans sa vie, une petite flamme ou une petite étincelle, la foi (peu importe le nom que l’on donne à ce chemin de vie ou « d’âme »), agir en pleine conscience par des actions épanouissantes et régénérantes est sans aucun doute l’une des pistes qui permet peut-être d’échapper à ce fol engrenage qui mène au burnout et à la désadaptation.

Citation burnout

HBE Diffusion, PANNE Carol 29 mei, 2016
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