Pas op voor de opeenstapeling van additieven en het "cocktail"-effect!

La multitude d’additifs utilisée dans l’alimentation industrielle peut donner lieu à des réactions croisées. C’est-à-dire que le cumul d’aliments contenant chacun des additifs différents augmente les risques de troubles de santé.

Certains additifs semblent être inoffensifs lorsqu’ils sont consommés individuellement. Par contre combinés avec d’autres, ils peuvent s’avérer nocifs. Dans certains cas, leur toxicité pourrait être décuplée.

Des chercheurs britanniques (étude menée en 2007) ont constaté que la combinaison de certains conservateurs comme les benzoates (E210 à E213) avec certains colorants de synthèse accroissait les troubles du comportement chez les enfants hyperactifs. Ces additifs combinés pourraient aller jusqu’à provoquer des troubles de déficit de l’attention chez ces mêmes enfants.

Une autre étude menée à l’université de Buenos Aires en 1998 explique qu’en présence de nitrites et des nitrates (E249 à E252), les sorbates (conservateurs E200 à E203) perturbent le système enzymatique et peuvent aboutir à la formation de substances qui risquent d’altérer l’ADN cellulaire (mutagènes).

Il faut absolument proscrire ces associations chez les femmes enceintes afin d’éviter les malformations congénitales

D’autres scientifiques ont démontré que les sorbates interagissent avec les sulfites (E220 à E228) pour aboutir à la formation de composés mutagènes.

En 2005, une autre équipe de scientifiques britanniques a publié les résultats d’une étude menée durant trois années. Après avoir étudié les effets isolés de l’aspartame (E951), du glutamate monosodique (E621) et de deux colorants, le jaune de quinoléine (E104) et le bleu brillant (E133), ils se sont attelés à la tâche d’étudier l’effet du croisement de ces molécules entre elles.

Le premier constat démontre que chacun de ces additifs est un puissant inhibiteur de la croissance des cellules nerveuses.

Plus alarmant, leurs combinaisons accroissent fortement leur toxicité sur les cellules nerveuses.

Combinaisons à éviter absolument
E102 (colorant jaune) AVEC

E210 (acide benzoïque)E211 (benzoate de sodium)

E212 (benzoate de potassium)

E213 (benzoate de calcium)

Ces additifs sont dérivés du benzène. Ils occasionnent des risques d’hyperactivité, des asthmes, d’irritations des yeux, d’urticaire, etc. le benzène affecte la formule sanguine et à des liens avec la leucémie chez l’animal comme chez l’homme*.

E104 (colorant jaune)
E110 (colorant jaune orangé)
E122 (colorant rouge)
E124 (colorant rouge)
E129 (colorant rouge)
E104 (colorant jaune) AVEC E951 (aspartame)Cette combinaison multiplierait la toxicité nerveuse par 7.
E133 (colorant bleu brillant) AVEC E621 (glutamate monosodique)Dans ce cas, la toxicité sur le système nerveux serait multipliée par 4.
E200 (acide sorbique) AVEC E220 (anhydride sulfureux) et tous les sulfites ou disulfites du E221 au E228 
E201 (sorbate de sodium)
E202 (sorbate de potassium)
E203 (sorbate de calcium)
E200 (acide sorbique) AVEC Tous les nitrites E249 (de potassium) et E250 (de sodium) et les nitrates E251 (de sodium) et E252 (de potassium)
E201 (sorbate de sodium)
E202 (sorbate de potassium)
E203 (sorbate de calcium)
E952 (acide cyclamique) AVEC E954 (saccharine)

* Dans son ouvrage « La pollution alimentaire et ses conséquences sur notre santé », le docteur Louis De Brouwer publie une longue liste de plus de 250 dérivés chimiques dont les preuves de cancerogénicité seraient amplement suffisantes pour les faire interdire. Les benzènes et tous les dérivés benzoïques en font partie. Il explique que plus de 1500 substances chimiques susceptibles d’induire un cancer ont été recensées (à la date de la publication de l’ouvrage 1997). Certaines sont mutagènes, d’autres cancérogènes ou les deux à la fois. Parmi les substances mutagènes sont particulièrement impliqués le goudron de houille et ses dérivés (carbures benzéniques, phénols, aniline, ammoniaque, bases pyridiques et produits sulfurés). Quelques dérivés du goudron : benzène ou benzol, toluène, xylène et xylidine, phénols, naphtalène… à l’heure qu’il est la liste n’a certainement fait que s’allonger.

Même si à faible dose prise isolément, ces molécules semblent inoffensives, au bout de quelques années leur accumulation peut donner lieu à « l’effet cocktail ». Ce qui peut être à l’origine de maladies graves et chroniques, maladies pour lesquelles il sera difficile de faire le lien avec cet empoisonnement à petit feu.

Il est important de tenir compte des DJA (Dose Journalière Admise), mais toutes ces données sont fournies comme si nous ne consommions qu’un seul aliment ; or c’est rarement le cas. En effet, un seul aliment contient plusieurs additifs. De plus, chacun d’entre nous possède son propre seuil de sensibilité. Il existe très peu d’études portant sur l’ingestion de plusieurs additifs cumulés, mais de nombreuses recherches plus récentes démontrent que les additifs, dont les exhausteurs de goût, présentent un danger en raison de leur effet cumulatif.

Tout cela sans que soient pris compte d’autres facteurs de pollution et d’intoxications tels que les additifs qui contiennent des métaux lourds comme l’aluminium qui se cumule avec celui des vaccins, des cannettes ou des chemtrails, ceux qui contiennent du mercure ou du nickel, dont les quantités sont augmentées par les plombages ou la pollution atmosphérique, etc.

HBE Diffusion, PANNE Carol 11 juni, 2015
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