GGO's: wat zijn de gezondheidsrisico's?

Ce n’est pas l’avis de l’académie américaine de la médecine environnementale (AAEM)… cet organisme a rapporté que « plusieurs études animales apportent de sérieuses preuves quant aux risques sanitaires liés à l’absorption de nourriture contenant des OGM.

Les problèmes de santé relatés dans ces études affectent particulièrement la stérilité, l’immunité, le vieillissement accéléré, le règlement du métabolisme des sucres et de l’insuline et les fonctions organiques du système gastro-intestinal.

Depuis, l’AAEM demande aux médecins de déconseiller ce type de nourriture aux patients à risque ou à ceux présentant déjà des problèmes de santé.

Avant de permettre l’utilisation des OGM dans la nourriture sans que cela soit mentionné sur l’étiquetage, les scientifiques de la FDA avaient averti à plusieurs reprises que ce type d’aliments pouvait générer des problèmes de santé imprévisible tels que l’accroissement d’allergies, le développement de nouvelles maladies ou des problèmes d’ordre nutritionnel (carences, obésité, etc.). Malgré les preuves apportées par des études longues et poussées, leurs avertissements ont été ignorés.

Depuis lors, les arguments en défaveur des OGM ne cessent de s’accumuler :

  • Ainsi en Inde des milliers de moutons, de buffles et de chèvres sont morts après avoir brouté dans des champs de coton génétiquement modifiés.
  • Des souris ayant mangé du maïs OGM sur une longue période ont donné naissance à beaucoup moins de souriceaux et ceux nés à terme étaient beaucoup plus petits.
  • Plus de la moitié des bébés rats dont la mère recevait du soja OGM étaient de taille nettement inférieure à la moyenne et sont morts dans un délai de 3 semaines après leur naissance.
  • Les cellules des testicules de ces souris et de ces rats nourris au soja transgénique étaient nettement plus petites, et ce de manière significative particulièrement à partir de la troisième génération.
  • La plupart des hamsters alimentés par des OGM ont perdu la capacité de se reproduire.
  • Des bébés rongeurs nourris au maïs OGM présentaient des dysfonctions de réponses du système immunitaire et les réactions allergiques vis-à-vis du soja cuisiné étaient 7 fois supérieures aux pourcentages classiques de réactions allergiques connus.
  • Les allergies de soja ont grimpé en flèche de 50% au Royaume-Uni depuis que le soja OGM a été introduit dans le secteur alimentaire.
  • La paroi de l’estomac des rats qui mangeaient des pommes de terre de type OGM manifestait une croissance cellulaire excessive, ce qui constitue des conditions propices aux développements d’éventuels cancers.
  • Les études ont également mis en lumière des lésions d’organes fondamentaux tels que le foie ou le pancréas, glande endocrine dont les cellules et les taux d’enzymes présentaient des anomalies.

Contrairement aux études cliniques pour l’évaluation des médicaments, il n’existe aucun test clinique humain qui porte sur les nourritures OGM, on ne peut donc que se fier aux résultats des études animales pour tenter d’évaluer les risques auxquels les humains sont soumis en absorbant ce type d’aliments.

Le seul essai publié les OGM utilisés chez les humains consistait en du matériel génétique (soja OGM) importé au cœur des bactéries de la flore intestinale.

Les bactéries semblent continuer de fonctionner tout en reproduisant la nouvelle structure génétiquement modifiée.

En conclusion, longtemps après que nous cessions de manger de la nourriture génétiquement modifiée, les protéines reproduisent ces structures transformées et modifiées.

On peut également conclure qu’un antibiotique utilisé dans la plupart des cultures OGM pourrait être transféré au cœur du code génétique humain et créer ainsi de « super »maladies entièrement résistantes aux antibiotiques.

De même que si le gène à l’origine de la BT-toxine du maïs OGM était transféré au cœur de notre ADN, cela pourrait transformer les bactéries intestinales en véritables usines vivantes de pesticides.

Aucune étude n’a évalué toutes les conséquences des OGM et de ce type de transfert de gènes (antibiotique ou BT-toxine) et les chercheurs se rendent compte qu’il s’agit là d’un problème de taille.

Les évaluations sanitaires sont beaucoup trop superficielles pour identifier l’ensemble des dangers potentiels des OGM.

Tous les jours de nouvelles études viennent appuyer les preuves accablantes déjà collectées et qui démontrent de manière formelle les dommages occasionnés par les OGM sur le foie et les reins, donnant lieu à des anomalies congénitales ou à la stérilité des animaux nourris à l’aide de soja ou de maïs génétiquement modifiés.

HBE Diffusion, PANNE Carol 19 augustus, 2015
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