Natürliche Lösung für neuronale Degeneration

Malgré son immense arsenal chimique, la médecine classique semble inefficace face à la vague de maladies neurodégénératives qui déferle sur nos populations en ce début de XXIe siècle. Les molécules chimiques conseillées dans ce type de pathologies ont surtout pour effet d’abrutir les personnes qui les absorbent, mais sans vraiment améliorer ni le terrain ni la maladie.

Or qui à l’heure actuelle dans son entourage n’a pas une connaissance ou un membre de la famille atteint d’une maladie de Parkinson, d’une déficience en dopamine ou encore d’une maladie d’Alzheimer ? Ces maladies étant très difficiles à gérer au quotidien, les maisons de retraite en regorgent.

 

Leur étiologie est encore mal connue.

Certains invoquent une origine virale, d’autres la toxicité de certains pesticides (à base de la molécule Roténone) pour le Parkinson ou la toxicité des particules d’aluminium qui se logent dans le cerveau et qui augmentent les risques de maladie d’Alzheimer. 5 % de maladies de Parkinson seraient d’origine génétique.

En réalité, ces problèmes dégénératifs sont plurifactoriels puisque l’on sait que l’hygiène de vie et l’alimentation elles-mêmes ont un impact sur leur développement. La maladie de Parkinson qui affecte 2 personnes sur 1000 consiste en une dégénérescence de la substance noire des neurones (neurones responsables de la production de la dopamine). La dopamine est le neurotransmetteur qui permet le contrôle et la coordination des mouvements. Elle se manifeste par des mouvements de plus en plus perturbés en raison de la diminution de la dopamine. Progressive et actuellement encore incurable, cette maladie peut débuter entre 55 et 65 ans. Elle est déjà installée depuis 5 à 10 ans lorsque les premiers symptômes cliniques apparaissent. À ce moment, environ la moitié des neurones dopaminergiques ont déjà disparu. La rapidité de l’évolution est propre à chacun et dépend de nombreux facteurs encore inconnus.

Si le diagnostic du Parkinson est bien posé, les résultats procurés par les médicaments sont spectaculaires dans un premier temps. Rappelons que le diagnostic repose exclusivement sur l’examen clinique et donc sur l’observation attentive du thérapeute qui aura auparavant exclu toute cause médicamenteuse éventuelle. Un Parkinson avéré repose sur la triade spécifique : tremblement (membres supérieurs et en particulier main principalement au repos) – hypertonie (rigidité, mouvements saccadés, marche mécanique comme un robot et à petits pas) – akinésie (lenteur et pauvreté des mouvements surtout face avec difficultés d’élocution et écriture progressivement illisible). Les personnes atteintes éprouvent aussi toute une série de signes concomitants : douleurs dans la colonne vertébrale, instabilité posturale, dépression, troubles du sommeil, grande fatigue, etc.
Les traitements chimiques actuels consistent à combler la carence en dopamine, ce qui restaure la transmission dopaminergique déficiente. Comme toujours en allopathie, le traitement repose sur la substitution de la substance manquante.

Si les premiers résultats sont souvent spectaculaires du point de vue clinique, l’on n’agit cependant ni sur la cause ni sur l’évolution progressive de la dégénérescence. C’est pour cette raison qu’au fil du temps le traitement s’avère de moins en moins efficace et que les signes manifestés sont de plus en plus difficiles à corriger.

On le sait peu, mais il existe des extraits de plantes très performants et donc très utiles pour améliorer le quotidien et le terrain de ces malades.

L’un d’eux, l’extrait de fève des marais (Vicia faba) sous forme de poudre contient un principe actif nommé lévodopa. Cela ne vous rappelle-t-il pas le nom de certains médicaments ? Eh bien oui ! Cette molécule naturelle possède les mêmes effets « thérapeutiques » que la molécule chimique qui constitue L-Dopa, Modopar, Sinemet, Stalavo, etc.
Des études cliniques et scientifiques très sérieuses démontrent que cette molécule végétale est réellement efficace dans le traitement de la maladie de Parkinson, mais également dans certains cas d’Alzheimer, un autre type de dégénérescence neuronale.

  • À la manière de la médication chimique, cet extrait de fève des marais induit une augmentation des taux de dopamine dans le sang, cela sans aucun effet secondaire.
  • La lévodopa possède un effet neuro-protecteur spécifique aux neurones dopaminergiques. Elle freine donc (voire stabilise) totalement l’évolution de la maladie.

Attention : il est recommandé d’utiliser l’extrait de fève des marais le plus rapidement possible avant que la dégénérescence neuronale soit trop avancée. En effet, cette substance protège les neurones et freine leur dégénérescence, mais elle n’en permet pas la reconstitution ou la régénérescence.

HBE Diffusion, PANNE Carol 31 Juli, 2016
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