Ist die Diagnose der Aufmerksamkeitsdefizit-Hyperaktivitätsstörung echt oder fehl am Platz?

Aux États-Unis depuis 2006, au moins 4,5 millions d’enfants américains de moins de 18 ans ont été catalogués d’hyperactifs ou souffrants de déficit de l’attention (ADHD), et ce, simplement parce qu’ils sont parmi les plus jeunes de leur classe ou simplement un peu moins matures que leurs compagnons. Ainsi, une étude relate que parmi les plus jeunes étudiants d’une même année scolaire, 60 % ont été diagnostiqués comme présentant un ADHD, alors que les plus âgés de la même année ne l’étaient pas.

Il faut bien se rendre compte que pour de jeunes enfants (6 – 7 ans), 10 mois ou un an d’écart constituent un réel fossé du point de vue de la maturité. En effet, un an à cet âge équivaut à 1/6 de leur vie. Certains chercheurs vont jusqu’à affirmer qu’environ 20 % de ces enfants, c’est-à-dire près d’un million rien que pour les USA, ont probablement été mal diagnostiqués.

En effet, actuellement ce soit disant désordre ou déficit d’attention caractérisé par un manque de concentration ou une hyperactivité (ADHD) semble être l’appellation « fourre-tout » pour les enfants qui « ne se comportent pas bien » aux yeux du système scolaire classique. Et donc, dès qu’un enfant remue un peu et montre quelques difficultés à se concentrer par simple comparaison à des camarades de classe plus mûrs, il est catalogué d’hyperactif.

Gardons quand même à l’esprit que ce diagnostic du syndrome d’ADHD repose uniquement sur une évaluation totalement subjective qui englobe une série de signes tels que l’inattention, l’hyperactivité et les comportements impulsifs. Aucun examen clinique ou physique ne permet de mettre en évidence un quelconque dysfonctionnement et de confirmer le diagnostic.

Parmi ces enfants qualifiés d’hyperactifs et d’impulsifs, on constate qu’à certains moments, ils peuvent également remuer ou se tortiller fréquemment, présenter une difficulté à jouer tranquillement et à rester assis pendant une longue durée, faire preuve d’inattention et de distraction lors d’un effort intellectuel soutenu et prolongé et montrer des signes d’impatience. Ces « symptômes » n’ont pourtant rien d’exceptionnels ou d’anormal et peuvent faire partie de l’attitude de tout enfant en bonne santé et présentant une énergie vitale encore intacte.

En effet, on sait actuellement que les pollutions chimiques, notamment par les vaccins, et les rayonnements nocifs (téléphones portables, wifi) ont une très forte tendance à rendre les enfants actuels amorphes. Ce qui, par contraste, fait apparaître les autres comme des hyperactifs, alors qu’ils sont simplement « normaux », mais ne correspondent plus aux normes actuelles.

Certains enfants ne montrent ces symptômes qu’à l’école. Dans ce cas, peut-être faudrait-il
se poser la question quant au réel intérêt des programmes scolaires actuels !

Quant à ceux qui présentent ces symptômes à la maison, mais pas à l’école, c’est sans doute lié au fait qu’ils se contrôlent durant les périodes scolaires et évacuent leur trop-plein d’énergie une fois rentré chez eux. Rappelons-nous qu’un enfant ne peut développer simultanément toutes les facettes de sa personnalité. Il peut donc « paraître jeune » dans son comportement, mais se révéler très mature dans d’autres domaines, domaines qui n’entrent pas en ligne de compte dans ce diagnostic et que les médecins n’explorent pas donc pas.

Il suffirait sans doute d’élargir les critères de diagnostic de ce trouble et de former les médecins à poser les « bonnes » questions afin de poser un « bon diagnostic » et de savoir si l’enfant est réellement immature pour son âge. Contrairement à ce qu’affirment de nombreux spécialistes, ce sont les mamans qui sont bien souvent les mieux placées pour évaluer le comportement de leurs enfants et c’est avec leur collaboration qu’il faut établir le diagnostic.

Quelles peuvent être les causes de cette augmentation d’ADHD ?

Les facteurs expliquant l’ADHD, sont variés et vous en avez certainement entendu parler. Parmi ceux-ci citons :

  • Sont sans doute impliqués, les sucres et céréales raffinés et traités, les sirops de maïs et de fructose. On constate qu’actuellement de plus en plus d’enfants sont intolérants aux céréales et particulièrement au blé et au gluten, et pas seulement les enfants hyperactifs.
  • Certains chercheurs expliquent ces problèmes comportementaux par des réactions allergiques. Selon eux, les personnes chimiquement sensibles pourraient présenter des troubles de l’attention uniquement par simple contact avec des vêtements porteurs de traces des produits de lavage ou des assouplissants.
  • N’oublions pas les colorants et autres additifs alimentaires qui peuvent également causer ou du moins aggraver les troubles de l’ADHD, d’autant plus s’ils sont combinés avec des sucres tels que le fructose.
  • L’eau fluorée est également suspectée dans ces soucis comportementaux ainsi que les toxines environnementales. Ainsi les enfants dont la mère a consommé cigarettes, alcool, ou d’autres drogues durant la grossesse, présenteraient plus de risque d’ADHD.
  • L’exposition aux métaux lourds (plomb, mercure, aluminium présents notamment dans les vaccins), aux pesticides ou dernièrement au bisphénol, apparaît au rang des accusés potentiels. De fortes corrélations ont été établies entre la fréquence de désordres neurologiques et les quantités de vaccins reçues durant l’enfance.
  • Les adjuvants contenus dans les vaccins sont aussi de plus en plus incriminés non seulement dans l’ADHD, mais également dans de nombreux autres désordres neurologiques et de santé.
  • On constate que les interventions lors de la naissance (notamment apport d’oxygène), les péridurales et les mises au monde par césarienne sont de plus en plus fréquentes. Tous ces facteurs auxquels est soumis le nouveau-né, augmenteraient de manière significative le risque de retard de développement mental.
  • Malgré tout cela, quelques scientifiques maintiennent l’hypothèse des facteurs génétiques qui prédisposeraient certains sujets à ce type de désordre.

Rappelons quand même que les parents sont (en partie) responsables des choix de nourriture. La nourriture étant un facteur essentiel au développement et au comportement normal de l’enfant. Il semble évident qu’un enfant qui n’absorbe que des aliments et des sucres raffinés, des nourritures traitées et chargées de produits chimiques ou d’ingrédients génétiquement modifiés, et des sodas plutôt que de l’eau pure présente moins de chance de vivre un développement physique et mental harmonieux.

Une faible absorption de légumes et de fruits frais, de graisses essentielles oméga-3 et un excès de graisses saturées (oméga-6) sont autant de facteurs de risques pouvant contribuer à l’apparition de ce genre de troubles. Un corps nourri de manière saine et équilibrée permettra au cerveau de développer harmonieusement, d’exprimer son potentiel au maximum et de fonctionner de façon optimale.

Pour « soigner » le syndrome d’ADHD, les médecins n’hésitent pas à déployer l’artillerie lourde et des traitements tels que la Ritaline ou le Concerta sont généreusement prescrits. Il s’agit de traitements neurologiques lourds et modifiant le comportement. Quand vous en détaillez la notice, vous découvrez avec horreur que la liste des effets secondaires en occupe les 2/3.

En plus d’être coûteux, ces traitements sont dangereux et peuvent engendrer des complications de santé à long terme, complication pouvant aller jusqu’à la mort. Ces produits allopathiques génèrent plus de soucis de santé qu’ils n’en résolvent. Et pourtant, des sommes colossales sont actuellement gaspillées pour de tels traitements complètement inadéquats et dont on ignore totalement les effets et les impacts à long terme sur la santé de l’enfant.

Il faut bien être conscient que face à cette « épidémie » d’ADHD, la médecine classique est en train de créer une génération de « drogués », puisqu’une fois le diagnostic a été posé, les médecins n’ont d’autre approche que celle de la pharmacopée conventionnelle. Le Ritalin et le Concerta contiennent des formulations de méthylphénidate, une drogue puissante psychostimulante qui appartient à la même famille que la cocaïne, alors que d’autres produits comme l’Adderall, plutôt utilisés aux États-Unis contiennent des amphétamines. Rappelons que la vente de ce type de drogues dans la rue est complètement illégale alors que leur prescription est avalisée par le système de santé actuel ! Le consentement du système et celui des parents ne leur ôte pas les risques éventuels qu’occasionne ce type de médication, risques qui sont identiques à ceux des drogues vendues dans la rue.

Ces produits allopathiques engendrent des dépendances et occasionnent sur les neurones et les neurotransmetteurs des effets identiques que ceux présentés par les cocaïnomanes. Le fait de placer cette population de jeunes enfants sous neuroleptiques augmente fortement les risques d’amorcer chez eux un sérieux penchant pour les drogues illicites.

Autre constat alarmant, et dont peu de monde se préoccupe, est que la prise de ce type de médicaments, comme celle de nombreux antidépresseurs, augmente les probabilités de pensées et de comportements suicidaires, ainsi que de fréquentes hallucinations, de comportements agressifs ou encore de crise cardiaque. Visiblement cela n’affole que peu de monde de savoir que des milliers d’enfants sont drogués et courent de ce fait un risque élevé de dépendance simplement parce qu’ils ont un comportement normal pour leur âge !

Aux États-Unis, les pharmaciens distribuent cinq fois plus de Ritaline qu’à travers tout le reste du monde. Ce médicament stimule le système nerveux central et peut provoquer des effets secondaires comme l’hypertension artérielle, l’augmentation de la fréquence cardiaque, de la température corporelle et de la vigilance. On assiste aussi à une diminution de l’appétit, de très fréquentes insomnies et céphalées et à l’apparition de problèmes de santé beaucoup plus graves tels que des cancers.

Il serait préférable d’envisager d’autres moyens d’action plus légers tels que l’application de certaines mesures diététiques comme la simple suppression des sucres, des confiseries et des céréales (blé et gluten). Il est également facile de remplacer les boissons sucrées et autres sodas par de l’eau non-fluorée et purifiée ou par des jus de fruits frais et non artificiellement sucrés ou encore d’augmenter les acides gras de type oméga-3 en incluant dans l’alimentation des huiles végétales (huile de lin) ou des poissons gras. Une autre mesure comme la suppression des laitages, des graisses saturées et des nourritures traitées avec des pesticides, des conservateurs, des colorants et autres additifs dont la simple absorption peut déclencher ou aggraver les symptômes est aussi facilement applicable au quotidien. Il faudrait même écarter les produits chimiques et pesticides domestiques, les détergents et les produits d’entretien (lavage et vêtements) en les remplaçant par des produits naturels sans parfums, ni molécules chimiques polluantes.

Une hygiène de vie générale, des séances d’oxygénation en plein air, des activités sportives, des activités d’éveil sensoriel, de gestion de l’émotionnel ou des techniques énergétiques sont également très salutaires. À elles seules, ces mesures assurent une connexion optimale entre les cellules nerveuses, un bon équilibre des sécrétions de neurotransmetteurs, et permettraient vraisemblablement d’éviter ou de résoudre la plupart des cas d’ADHD. Les drogues restant la solution ultime qui ne devrait être réservée qu’en tout, tout dernier recours pour les cas graves dans lesquels aucun autre moyen d’action n’est efficace, et non pour un simple manque de maturité !

HBE Diffusion, PANNE Carol 15 Februar, 2014
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